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Mon expérience avec des rallonges

Rédigé par: Marina Bastarache Montréal - 23 Octobre 2018

Comme vous le savez, cet été j’ai essayé les rallonges capillaires pour la première fois. Non pas celles à clips que tu enlèves le soir venu, mais bien celles qui restent pour plusieurs mois. Je suis allée voir Cass Loignon dans son salon LES PRÉCIEUSES à Québec. C’est une fille qui a une réputation qui la précède, elle en a vu d’autres, alors pour moi c’était le choix idéal !

 

Moi qui pensais rester six heures sur sa chaise, 1h30 plus tard j’avais fini et j’avais une chevelure de belle sirène. FACILE ! J’ai ADORÉ porter des rallonges… En fait, j’ai passé par plusieurs émotions pour être totalement franche avec vous. Les voici :

 

Le jour même, je me sentais comme une jeune fringante vagabonde. La chevelure dorée me donnait des ailes. Le soir venu, je ne comprenais pas comment je devais dormir. AYOYE ! J’avais mal. On m’a dit qu’après quelques jours, ça allait passer. Erreur. J’ai eu mal un bon deux semaines de temps. C’est long deux semaines s’endormir avec une douleur au crâne. Par contre, je me suis fait dire que Cass faisait ses poses très serrées. La bonne nouvelle, c’est que je n’ai jamais perdu de rallonges (parce qu’on s’entend que c’est hyper malaisant être en public et perdre des cheveux). Donc merci à Cass pour ça ! Par contre, pour une petite sensible comme moi, ce sera à réessayer, mais moins serré cette fois-ci. Finalement, prendre ta douche avec cette histoire-là, tu fais le saut sur un moyen temps. C’est quoi la marche à suivre? Préparez-vous, votre premier shampoing à la maison vous prendra pas loin d’une heure ! Oups !


Au final : les cheveux sont doux et ils avaient l’air des miens. Je les ai gardés un mois parce qu’ensuite, je repartais vers la mer, et je savais que kitesurf et rallonges ne faisaient pas bon ménage. Toutefois, les deux dernières semaines, je TRIPPAIS ! Sans la douleur, c’est la vie !

 

 

Pour celles qui veulent en savoir plus
J’ai choisi les rallonges à clips métalliques. Pourquoi ne pas prendre à colle? C’est hyper simple. Comme je savais que je garderais mes rallonges pendant seulement un mois, je me voyais mal mettre de la colle pour ensuite devoir utiliser un dissolvant sur mes cheveux (produit chimique) pour décoller les rallonges. Tout ça pour un petit mois. C’était plus simple de me faire poser des clips et ensuite de les enlever à l’aide d’une pince qui ouvre la clip, et la rallonge s’enlève tout doucement sans produits.

 

POUR ET CONTRES

À colle : c’est de la colle qui va sur tes cheveux. Aussi bonne soit ta coiffeuse, il reste que c’est un produit chimique. Pour enlever les rallonges, il faut utiliser un dissolvant, encore une fois un produit chimique. Par contre, c’est moins lourd, moins douloureux, ça se cache plus facilement, et il est possible de se faire des couettes hautes.

 

À clips : tu peux les mettre et les enlever 24h plus tard, rien n’abîme tes cheveux. Ça s’enlève et se remet hyper facilement sans produits chimiques. Vous aurez compris que c’est plus lourd, plus douloureux et surtout (ce que je ne savais pas) impossible de se faire une couette haute sans voir les clips. En plein été, c’est medium.

 

Tressées : je ne m’y connais pas, mais perso, l’idée d’avoir la tête toute tressée pendant un mois ne m’interpelle pas. Aussi, il est plus difficile de disperser les « faux cheveux » comme il s’agit de rangées complètes de rallonges.

 

 

Si vous en savez plus, laissez-moi savoir dans les commentaires!


QUÉBEC

Salon Les Précieuses avec Cass Loignon

@cassloignon @lesprecieuses.ca

 

MONTRÉAL (prochaine adresse que je vais essayer)

Salon Le Artof avec Catia

@artof @catiacorr.hairstylist

 

AVANT

APRÈS

Rédigé par:

Marina Bastarache

Globe-trotter à ses heures et ayant tout sauf une vie routinière, Marina a également deux chaînes YouTube où on peut la suivre à travers ses projets télé, ses nombreux voyages et sa vie personnelle. Influençant une génération grâce à son style extravagant et sa personnalité flamboyante, elle s’est donné un mandat de promouvoir une image saine, d’ouverture et d’amour pour les jeunes filles qui la regardent #GRLPWR. Avec ses nombreux projets en développement et son blogue qui vient d’être lancé, vous n’avez pas fini d’entendre parler de Marina.

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